e
Focus (Koméa)
e
Plan du Site Menu
e Menu Principal  
e Accueil Page d'Accueil
e Présentation Présentation
e Infos Infos
e Focus Focus
e Focus (Koméa) Focus (Koméa)
e Univers Univers
e Système de Jeu Système de Jeu
e Histoire Histoire
e Salon Le Salon
e Téléchargements  Téléchargements
e Nouvelle Nouvelle
e Galerie Galerie
e Liens Liens
Menu Menu
Menu Menu
e Menu Local  
e Focus Focus
e Focus (Koméa) Focus (Koméa)
e Focus (Miwéa) Focus (Miwéa)
Menu Menu
csg csd e
  e Accueil > Focus > Focus (Koméa)


Vous trouverez ici les archives rassemblant les Focus des trimestres précédents concernant les systèmes de Koméa.



Focus sur le système d'Aqualis
sgsmsd


Le Système d'Aqualis

Situé dans un des bras de Koméa, ce système planétaire comporte quatre planètes principales qui sont dans l'ordre de la plus proche de l'étoile à la plus éloignée : Ubilis, Aqualis, Guakalis et Sodjelis orbitant autour de Llis, leur soleil rouge de type spectral M4. Ce système, jumeau de celui d'EtherNova, est principalement réputé pour sa planète majeure, Aqualis, quasiment exclusivement tournée vers le tourisme de luxe. Les trois autres planètes du système sont principalement exploitées pour leur richesses minières ou pour de l'extraction gazière sur Sodjelis.

Aqualis, la Planète-Océan

Recouverte à 95% par les océans avec seulement 5% de terres émergées se présentant sous la forme d'archipels de tailles variables disséminés à sa surface, Aqualis, qui possède un diamètre d'environ 12 000 km, mérite amplement son surnom de planète-océan. Ce d'autant plus qu'elle est, contrairement à sa jumelle de Miwéa, extrêmement peu industrialisée et que les différents écosystèmes naturels y sont parfaitement préservés. Aqualis possède également une lune faisant environ 3000 km de diamètre appelée Opale.
Sa population permanente est ainsi particulièrement faible et atteint à peine le demi-milliard d'habitants alors que toutes les meilleures conditions sont réunies avec un climat globalement tempéré, une gravité d'environ 1g et une atmosphère pleinement respirable, principalement constituée d'oxygène et d'azote.
Ceci s'explique essentiellement par une politique très stricte en ce qui concerne l'attribution des visas qu'ils soient permanents ou temporaires. Ils sont en effet extrêmement difficiles à obtenir d'une manière générale. Les visas permanents, qui sont assortis d'impôts élevés, sont ainsi quasiment inexistants ou en tout cas extrêmement rares et se présentent dans les faits sous la forme de visas renouvelables, les conditions de renouvellement étant particulièrement draconiennes.
Les visas temporaires sont de courte durée (moins d'un mois en général, la plupart du temps une ou deux semaines standard) et sont délivrés à ceux qui peuvent présenter un contrat de séjour touristiques ou d'une manière générale à ceux qui sont prêts à y mettre le prix. Comme on peut s'en douter, Aqualis possède une légalité très basse : la légalité générale vaut 1 pour la planète et 0 pour certains archipels et les principales villes.
Aqualis se distingue par sa spécificité unique à posséder deux capitales. La capitale terrestre planétaire est Sénusia, située sur le principal archipel de la planète, appelé archipel de Sénusia. Cette métropole est généralement considérée comme étant la capitale du système même si elle partage officiellement ce rang avec l'autre capitale. BlauKern, la capitale sous-marine d'Aqualis marque ainsi son attachement à l'élément marin et à la volonté de proposer une gestion spécifique des nombreuses stations sous-marines situées dans les profondeurs des océans. Il s'agit de la plus grande station sous-marine de la planète et regroupe près de 20 millions d'habitants.



Aqualis © Richard Stowers
© Richard Stowers

L'un des magnifiques lagons de la célèbre planète-océan.

Le Développement du Tourisme

La principale ressource d'Aqualis, assez loin devant l'exploitation des nodules poly-métalliques, est le tourisme, un tourisme d'élite, proposant des séjours et des croisières de rêve dans un luxe à peine imaginable à des tarifs excessivement élevés.
Cependant ce développement touristique ne se fait pas au détriment de l'environnement. Les écosystèmes sont parfaitement préservés, les complexes hôteliers sont certes fabuleusement luxueux mais de tailles modestes et les habitats touristiques sont généralement éparpillés et de type traditionnel puisqu'ils se présentent sous la forme de huttes sur pilotis proposant bien évidemment tout le confort toutes les facilités possibles.
Il s'agit donc d'un tourisme de luxe, proposant des prestations hors-normes à des personnes triées sur le volet et ce à des tarifs prohibitifs, ce qui explique pourquoi seuls de rares élus fortunés ont la possibilité de se permettre de telles dépenses.
En ce qui concerne la production d'énergie, là encore, des solutions respectueuses de l'environnement sont principalement utilisées puisqu'il n'existe que très peu de centrales à fusion et que la majorité de l'énergie consommée provient de diverses énergies renouvelables. Ceci explique la présence de gigantesques champs d'éoliennes au large des côtes ainsi que de turbines sous-marines tirant rofit des courants chauds se déplaçant à grande vitesse à différentes profondeurs.
Par ailleurs, la pêche est strictement réglementée afin de garantir une totale pérennité aux nombreuses espèces de poissons de la planète (15 millions d'espèces différentes naturelles répertoriées).

Sénusia, la Blanche

La capitale terrestre peu densément peuplée d'Aqualis compte de nombreux espaces verts, jardins classiques et exotiques, parcs champêtres et floraux, bois naturels ainsi que des serres classiques et hydroponiques. Dotée d'un style architectural très particulier, les bâtiments de cette cité ont pour principale caractéristique d'être quasiment tous intégralement blancs. Le choix du blanc comme couleur dominante symbolise vraisemblablement la pureté et la volonté de proposer un écosystème parfaitement préservé. L'urbanisme présente un schéma spécifique puisque l'habitat est majoritairement de type rotatif et se présente principalement sous la forme de maisons individuelles possédant une large surface vitrée photosensible placée du coté de l'éclairage naturel, associée à un dôme de couleur blanche. Entre deux maisons, on retrouve systématiquement des dallages de marbre blanc entourés de nombreux espaces verts dotés de pelouses verdoyantes et d'arbres de différentes essences, ce qui explique la très faible densité de population de Sénusia.
L'un des principaux symboles de cette cité se trouve être l'AquaSphère, un gigantesque bâtiment se présentant sous la forme d'une monumentale sphère faisant plusieurs centaines de mètres de diamètre, regroupant de nombreux aquariums et vivariums présentant la faune et la flore ainsi que les coraux des océans d'Aqualis et de plusieurs milliers d'autres planètes aquatiques des deux galaxies. Il s'agit d'un des plus grands ensembles de ce type à travers les deux galaxies. Attenant à l'AquaSphère, une université faisant partie des plus renommées des deux galaxies a trait à l'étude de la vie marine et sous-marine. De nombreux colloques intersidéraux et intergalactiques sont régulièrement tenus dans ses divers amphithéâtres.
C'est aussi sur l'archipel de Sénusia que l'on trouve les principaux bâtiments du gouvernement de la planète et du système. Un gouvernement indépendant qui refuse toute alliance quelle qu'en en soit la nature. Si le système peut paraître esseulé, ça n'est en fait pas un inconvénient étant donné qu'il peut largement subvenir à ses besoins du fait des importants bénéfices générés par le tourisme d'une part et de l'exportation des nodules poly-métalliques encapsulés d'autre part. Par ailleurs, les dirigeants ne craignent pas particulièrement une annexion hostile de la part d'une entité majeure des galaxies jumelles étant donné la faible valeur stratégique du système. De plus, le principal intérêt du système résidant dans sa position de référence touristique cela lui confère une autonomie appréciable.

Les Stations Sous-Marines

On estime que près de 20% de la population permanente de la planète vit dans les différentes stations sous-marines de la planète. La principale étant BlauKern, la capitale subaquatique d'Aqualis, qui abrite notamment les bâtiments des ministères chargés de l'exploitation sous-marine. C'est en effet depuis BlauKern que les récoltes des nodules poly-métalliques tapissant le fond des mers de la planète-océan sont coordonnées. L'aspect énergétique est aussi principalement géré par la capitale sous-marine. La production des turbines à courants chauds alimentant les stations sous marines d'extraction de nodules poly-métalliques est ainsi en partie contrôlée part les autorités en charge leur régulation.
Les stations intègrent pour la plupart des d'entre-elles des lignes d'encapsulage des nodules qui sont exportés tels quel, le post-traitement des nodules étant effectué quasiment exclusivement en dehors du système d'Aqualis.

Les Kuyltins

Considérés comme faisant partie du patrimoine planétaire même s'ils ne sont pas issus d'Aqualis, ils bénéficient d'un statut spécial, sont protégés et soignés. Il s'agit là d'un pacte tacite, les Kuyltins, même s'ils n'y sont pas contraints, s'occupant de veiller au respect des fonds marins proches des littoraux.
De nombreux évènements festifs sont organisés en l'honneur des Kuyltins qui semblent cependant avoir été introduits relativement récemment sur Aqualis, selon toute vraisemblance au cours du règne des Anciens. Certains prétendent qu'il ne s'agit là que de manifestations destinées à attirer les touristes plutôt que d'authentiques folklores issus de coutumes ancestrales.

Retrouvez le système d'Aqualis ainsi que Sénusia, BlauKern et l'archipel Sorissy dans le scénario "L'Initiation" bientôt disponible en téléchargement.



Focus sur le système Kax-Niurat
sgsmsd


Kax & Niurat

Kax-Niurat est un système de moyenne importance de Koméa qui se compose de six planètes, quatre telluriques et deux joviennes. Celles-ci orbitent autour du système double formé par les deux étoiles blanches du système : Kax (type spectral A2) et Niurat (type spectral A3). Elles constituent un système binaire orbitant autour de son centre de gravité commun.
Astirkax, la quatrième planète du système et la seule habitable, est naturellement la planète principale sur laquelle se trouve Jicobar la capitale du système.

Astirkax

Planète majeure du système, Astirkax, bien qu'habitable est cependant peu accueillante. D'un diamètre de 14 000 km et présentant une gravité de 1,1g ainsi qu'une pression atmosphérique d'un peu plus de 1 bar, son atmosphère est respirable bien que relativement pauvre en oxygène ce qui nécessite généralement un certain temps d'adaptation pour les nouveaux arrivants. C'est principalement son climat particulièrement chaud et humide tout au long de l'année et ce sur la quasi totalité de la planète qui la rend peu agréable à vivre.
Astirkax est ainsi principalement recouverte de nombreuses jungles et marécages et est par ailleurs très urbanisée en dehors de ces zones. Sa population est tout de même estimée à environ 10 milliards d'habitants. Si la légalité officielle est assez basse, dans les faits beaucoup de choses sont tolérées par le gouvernement local gangrené par la corruption.



Astirkax © Stef
© Stef

Astirkax, la planète principale de Kax-Niurat.

Jicobar

La capitale d'Astirkax est une mégalopole principalement administrative regroupant près de 50 millions d'habitants. On y trouve ainsi la quasi totalité des ministères et des bâtiments du gouvernement de système. Contrairement au reste de la planète, la capitale est relativement épargnée par les problèmes d'insécurité récurrents qui affecte la plupart des grandes villes.

Serelt

Troisième ville d'Astirkax par la taille (sa population est estimée à 25 millions de personnes), Serelt est comme la très grande majorité des grandes métropoles de la planète, particulièrement concentrée et par conséquent densément peuplée. Elle se divise en une cinquantaine de quartiers principaux dont les plus connus sont le quartier Herenz, le principal quartier d'affaires, Norenz, une quartier majoritairement occupé par des artistes en tout genre et le fameux quartier Grenz, l'un des plus malfamés qui soient.

Grenz, La Fascination de la Nuit

Quasiment désert et inactif la journée, ce quartier se réveille au moment du crépuscule et se met peu à peu à grouiller d'activité. Des activités souvent illicites puisque ce quartier est réputé pour être le repère de plusieurs caïds de la drogue. Les rixes sont d'ailleurs monnaie courante entre membres de bandes rivales et si certains passages semblent anodins de jour, il est particulièrement dangereux de s'y aventurer la nuit.
Une fois la nuit tombée, les gangs locaux font la loi et il n'est pas question de compter sur une éventuelle patrouille des forces de l'ordre qui ont depuis longtemps renoncé à exercer leur autorité sur cette partie de Serelt. Grenz peut cependant ressembler à un paradis pour ceux en quête d'une nouvelle dose. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils ont l'embarras du choix et la concurrence est tellement relevée entre les différents dealers qu'il est possible pour peu que l'on connaisse les bonnes adresses de dégoter des tarifs défiants toute concurrence.

Retrouvez le système Kax-Niurat, Astirkax, Jicobar et Serelt dans le scénario "La Guilde de l'Oubli" bientôt disponible en téléchargement.



Focus sur le système Kiramar
sgsmsd


Le Système Kiramar

Situé dans Koméa, Kiramar est un système planétaire de faible importance dirigé par un conseil qui est en fait constitué d'une cinquantaine de représentants d'un regroupement de colonies principalement situées sur Kiramar V, la planète la plus fortement peuplée. Le soleil du système, Kiramar, est une étoile rouge de très grande taille (type spectral M2) autour de laquelle orbitent sept planètes : cinq telluriques et deux joviennes numérotées de I à VII.

Kiramar V, la Rouge

Il s'agit d'une petite planète d'environ 7000 km de diamètre, dotée d'une gravité assez faible de 0,8g, qui est principalement recouverte de terres émergées (un peu plus de 85%). Ceci explique en grande partie pourquoi les précipitations sont très faibles avec pour conséquence des terres arides (très peu sont cultivables en l'état, de nombreuses cultures artificielles coûteuses leur sont préférées), un climat sec et présentant alternativement de très basses et de très hautes températures moyennes, la planète étant alternativement relativement loin de son étoile puis relativement proche.
En effet, dotée d'une orbite très elliptique (excentricité élevée), comme la plupart des planètes du système, Kiramar V propose principalement deux saisons en alternance : la saison chaude et la saison froide qui ont chacune lieu deux fois par année planétaire. Ce climat extrêmement difficile ainsi que la faible densité de gisements de minerais intéressants expliquent pourquoi cette planète est très peu peuplée, la population étant estimée à un peu plus de 12 millions d'habitants.
Par dessus le marché, Kiramar V, du fait de sa faible gravité, possède une atmosphère relativement ténue qui nécessite de porter un masque respiratoire dès que l'on prend un peu d'altitude (au-delà de 500 mètres).
Les continents de Kiramar se présentent pour la plupart sous la forme de grandes étendues arides assez planes à l'exception des régions des canyons, la plus célèbre étant la région de Saneytar. On trouve un peu partout, en très grande quantité, un type de roche ocre voire purpurine à base d'argile qui a donné son surnom à la planète.



Kiramar © National Science Foundation
© National Science Foundation

Kiramar V, la Rouge

Les Colonies

Au total, une vingtaine de colonies sont réparties à la surface de Kiramar V. La plus importante Ysundherat, compte un petit million de personnes, principalement des petits exploitants de gisements miniers. Il existe quelques entreprises familiales mais aucune corporation d'importance ne s'est implantée sur la planète. Autour de l'exploitation de minerai s'est développé tout un ensemble d'activités de commerce et de service qui emploient un tiers des habitants.
Les colonies possèdent chacune une organisation qui lui est propre et notamment des fonctionnements plus ou moins démocratiques. Elles partagent cependant deux choses essentielles : la structuration autour de concessions et la participation au conseil planétaire. Chaque colonie possède ainsi le droit d'accorder des concessions aux différentes exploitations privées sur les territoires qu'elle possède. Les concessions sont payantes et constituent la principale rentrée d'argent des colonies avec les taxes sur les produits et services.
Par ailleurs, chaque colonies possèdent en fonction de sa taille un certain nombre de représentants au sein du conseil planétaire qui se réunit toutes les semaines. Ce conseil sert à voter un certain nombre de lois communes à toutes les colonies mais qui n'ont généralement pas une très grande importance mais surtout à répartir les territoires vacants. Ces territoires sont constitués par des terrains non exploités et récemment désignés comme étant " exploitables " et par toutes les concessions qui ont été revendues par leur précédents propriétaires. Ces territoires sont achetés aux enchères par les différentes colonies et répartis par le conseil en fonction de l'issue de chacune des enchères.

Les Canyons de Saneytar

De gigantesques canyons creusés par d'anciens fleuves aujourd'hui asséchés pour la plupart, les canyons de Saneytars sont tout simplement monumentaux puisqu'ils possèdent une profondeur dépassant les 2500 mètres s'étendant sur des dizaines de milliers de kilomètres carrés avec une profondeur maximale dépassant les 5000 mètres.
Principalement du fait de la présence de vents parfois très violents qui soufflent dans les canyons, il existe une importante érosion des falaises ayant pour principale conséquence, la présence d'une fine poudre rouge de rochers. Lorsque le vent souffle, à des vitesses parfois très élevées, il se produit une tempête de poudre rouge surnommée Blizzard Rouge par les locaux. Il est toujours extrêmement risqué de s'aventurer dans les canyons de Saneytar lorsque le Blizzard s'est levé.

Retrouvez le système Kiramar ainsi que Kiramar V, Ysundherat et les Canyons de Saneytar dans le scénario "La Guilde de l'Oubli" bientôt disponible en téléchargement.



Focus sur le système Sortesken
sgsmsd


Le Système Sortesken

Le système Sortesken, qui comporte 7 planètes principales (Syera, Solz, Siunne, Serens, Saldib, Skel et Stella) gravitant autour d'une étoile jaune de type G nommée Sesken, fait partie d'une coalition de systèmes indépendants regroupant une petite dizaine de systèmes périphériques de Koméa situés dans un rayon de 10 années-lumière. Dénommée STV, en référence aux trois principaux systèmes la constituant (Sortesken, Terkium et Val Dermat), cette coalition est épaulée par un consortium de MégaCorporations désireuses de conserver un bastion indépendant dans cette zone particulièrement active de Koméa, où elles peuvent s'installer tranquillement sans être sous la coupe d'un Clan.

Serens

Il s'agit de la planète principale du système Sortesken, la quatrième planète de ce système. Elle dispose de deux satellites naturels Ichiop et Latis et de huit stations orbitales appelées Orens 1 à 8, dont le rôle est de faire l'intermédiaire entre la planète et l'espace intersidéral tant d'un point de vue flux de marchandises que d'un point de vue flux migratoire. Serens est une planète de type tellurique d'un diamètre de 10 500 km dont la pesanteur est d'environ 1,1g à la surface et dont la pression atmosphérique moyenne à la surface est de 980 HPa. Le climat relativement tempéré qui règne sur une bonne partie de la planète a depuis longtemps permis son développement, ce qui permet à Serens et à l'ensemble du système Sortesken d'être un pôle économique majeur et ce depuis des dizaines de milliers d'années. Serens possède ainsi une population d'environ 25 milliards d'habitants répartis sur trois principaux continents : le continent Nord, le plus important avec plus de 12 milliards d'habitants, qui se trouve principalement dans l'hémisphère nord de la planète dont la capitale est Sidiumir qui est également la capitale de Serens ; le continent Sud, le deuxième par son importance avec une population de près de 10 milliards d'habitants, dont la capitale est Kaldenar ; et enfin le petit continent qui s'étend tout en longueur du nord au sud à l'opposé des deux principaux continents et dont la capitale se nomme Hakilia, il ne compte qu'environ 3 milliards d'habitants. Les continents sont séparés par un ensemble d'océans et de mers recouvrant près de 60% de la surface de Serens. La rotation de Serens autour de l'axe reliant ses deux pôles étant relativement rapide, la journée planétaire dure environ 12 heures standard, il faut donc environ 2 journées planétaires pour faire une Journée Standard (JS). Lors de la période d'équinoxe, une Journée Standard sur Serens est ainsi constituée de quatre périodes alternant jour et nuit d'une durée de 6 heures chacune. La population de Serens est ainsi partagée en deux, la partie de la population qui dort la " première nuit " et celle qui dort lors de la " deuxième nuit ". Ce phénomène a pour conséquence de donner l'impression que l'activité ne s'arrête jamais sur cette planète ce qui constitue également un autre élément explicatif du développement économique très important de cette planète et par voie de fait du système Sortesken.

Ichiop & Latis

Il s'agit des deux satellites naturels de Serens : Ichiop est le plus important des deux, il possède un diamètre de 3500 km environ (gravité de 0,2g) alors que Latis a un diamètre de 2500 km (gravité de 0,1g). Abritant une population réduite, ils sont principalement utilisés pour l'extraction minière, Ichiop étant notamment très riche en métaux. Ces deux satellites abritent également quelques usines automatisées très polluantes ou présentant un danger pour d'éventuelles populations. Ainsi isolés, elles ne sont plus une menace et ne constituent plus, non plus, une cible stratégique de choix en cas de conflit. Par la même occasion, Ichiop et Latis servent également de lieu de stockage pour les produits et substances nocives. Enfin, quelques groupes de scientifiques y mènent des expérimentations spécifiques parfois susceptibles de présenter un danger. Les deux satellites naturels de Serens ne sont donc pas particulièrement accueillants et sont même soupçonnés d'abriter une prison spéciale destinée aux détenus particulièrement dangereux même si cette rumeur a toujours été démentie par le gouvernement de Serens.



Latis © Mike McCain/Ludicrous Speed
© Mike McCain/Ludicrous Speed

Latis, un des deux satellites naturels de Serens.

Les Stations Orens

Au nombre de huit, les stations Orens sont toutes de type géostationnaire. Elles sont réparties tout autour de Serens et ont pour principal rôle de servir d'intermédiaire entre Serens et l'espace. Elles forment un passage obligé pour tous ceux qui désirent se rendre sur Serens. Un premier filtrage douanier est ainsi effectué, la légalité globale de Serens étant de 2. Elles ont également pour rôle de faire transiter les marchandises vers la surface de la planète : les gigantesques cargos intersidéraux déchargeant leurs marchandises dans les hangars de chacune de ces stations avant qu'elles ne soient de nouveau chargées dans des cargos ou des transporteurs orbitaux de taille plus modeste. Les stations Orens ont en moyenne une population d'une dizaine de millions d'habitants. Des générateurs de gravité permettent d'obtenir une gravité d'environ 1g et des générateurs d'air permettent de recréer une atmosphère respirable.
Elles disposent de plusieurs escadrons de chasseurs et bien souvent d'un aviso pour assurer leur propre défense notamment face aux nombreuses attaques pirates. En outre, elles disposent de plusieurs batteries de turbo-lasers sur tourelles, dans le but de dissuader quiconque animé de mauvaises intentions de s'approcher de trop près de la station.
Les stations Orens, comme la plupart des stations orbitales, sont divisées en plusieurs zones : une zone "espace" de légalité 4, destinée à accueillir les vaisseaux en provenance des autres planètes du système et des autres systèmes ou en partance vers ces planètes ou systèmes et une zone "planète" de légalité 2 (la légalité globale de Serens) destinée à accueillir les vaisseaux en partance (via des vaisseaux boucliers) vers Serens et les navettes en provenance de la planète. Ces deux zones sont séparées par une douane à sens unique (zone "espace" vers zone "planète") par laquelle il est impératif de passer. Des consignes et des parc fermés (payants) sont prévus dans la zone espace afin d'accueillir les objets et les véhicules qui ne peuvent passer la douane ou que leurs propriétaires ne désirent pas emmener avec eux sur Serens. La zone planète, qui est de loin la plus développée, dispose de plusieurs centres commerciaux, certains se trouvent dans la zone de transit et proposent des prix hors taxe, les autres servent pour les résidents qui sont principalement employés pour s'occuper du bon fonctionnement de la station, du transit des marchandises et des passagers, et de l'aspect administratif (douanes, autorisations,…). D'une manière générale, une grande partie de la population est en transit (voyageurs, pilotes de vaisseaux de transport ou de cargos) et ne reste que quelques jours dans un des nombreux hôtels de la station.

Sidiumir

Cette gigantesque métropole du continent nord est la capitale de Serens et héberge à ce titre le gouvernement de la planète et se trouve également être le lieu où 80% des décisions concernant le système Sortesken sont prises et une bonne partie de celles concernant la coalition STV également. Il s'agit d'une agglomération regroupant environ 120 millions d'habitants. A cause de la recrudescence d'attaques pirates, Sidiumir est particulièrement touchée par des problèmes d'approvisionnement de toutes sortes. Le continent nord est globalement affecté par ce problème dont la plupart des médias planétaires se font régulièrement l'écho.

Kaldenar

Kaldenar est la capitale du continent sud de Serens. Sa population est estimée à plus de 100 millions d'habitants, l'agglomération de Kaldenar s'étendant sur plus de 30 000 km². Cette gigantesque métropole est constituée de différents quartiers : le quartier des affaires à l'architecture aérienne, dominé par de gigantesques tours dont les plus hautes dépassent les 1000 mètres de hauteur. Situé au cœur de la ville, il regroupe la plupart des activités tertiaires ainsi que les différents bâtiments administratifs, notamment ceux du gouvernement autonome du continent Sud ; le quartier du commerce et des guildes qui regroupe de nombreux centres commerciaux spécialisés, tout un ensemble de petits commerces et d'artisans très spécialisés et de nombreux comptoirs de guildes ; différents quartiers résidentiels plus ou moins huppés ; un quartier exclusivement dédiés aux loisirs ; différents pôles industriels. Kaldenar a depuis toujours souffert de son statut de seconde métropole de Serens derrière Sidiumir et c'est une véritable compétition qui s'est instaurée entre les deux villes depuis de nombreuses années déjà.

Retrouvez le système Sortesken ainsi que Serens, Sidiumir et Kaldenar dans le scénario "Opération Serens" disponible dans le manuel de la Section Maître et sur la page Scénarios de la rubrique Téléchargements.



Focus sur le système Star Dust
sgsmsd


Le Système Star Dust

Star Dust est un système de moyenne importance situé dans Koméa. Constitué de huit planètes principales, quatre telluriques et quatre joviennes, nommées Star Dust I à VIII, ce système ne compte que deux planètes habitées : Star Dust II et Star Dust III. Les huit planètes gravitent autour de deux étoiles jumelles bleues Deltar et Zerak de catégorie B4.
Un certain nombre de stations orbitales habitées et automatiques gravitent autour des planètes joviennes et de certains de leurs satellites telluriques, principalement dans le cadre d'activités d'extractions minières et d'extraction gaz. Mais la principale activité du système c'est le jeu, sous toutes ses formes et ce depuis des temps immémoriaux. Même du temps des Anciens lorsque les jeux étaient strictement réglementés et pour la plupart interdits, notamment les jeux d'argent, les deux planètes majeures du système, par le biais de dérogations successives, ont toujours réussi à conserver leur activité principale.
Bien qu'étant de moyenne importance, Star Dust n'en est pas moins un des systèmes les plus connus des galaxies jumelles. Et peu sont ceux qui ont réussi à résister à la tentation d'y faire un tour ne serait-ce que pour voir. Le tourisme est ainsi la deuxième ressource du système et est même en passe de devenir la première.

Star Dust II

Il s'agit d'une planète tellurique assez proche de Deltar et Zerak, les étoiles jumelles bleues du système. De grand diamètre (plus de 18 000 km), cette planète dont l'axe de rotation est quasiment inclus dans le plan de l'écliptique est en quelque sorte coupée en deux. Une moitié de la planète est en permanence éclairée par les deux soleils du système alors que l'autre moitié est plongée dans une nuit perpétuelle.
C'est dans cette autre moitié de la planète dont le climat est tempéré et très constant (entre 15 et 25°C toute l'année) que de tous temps ses habitants se sont installés fuyant la fournaise (près de 250°C en permanence) que constitue la moitié éclairée de la planète.
Par ailleurs, Star Dust II, dont la population est estimée à 55 milliards d'habitants, dispose de conditions très favorables : une gravité de 1,05g, une pression atmosphérique (très constante) d'environ 1050 HPa et une composition atmosphérique à 75% d'azote et près de 25% d'oxygène. La partie nocturne est, quant à elle, pourvue de plusieurs océans recouvrant environ 50% de sa surface.
De tous temps, la principale planète de ce système a été consacrée aux jeux et plus particulièrement aux jeux d'argents. La principale raison invoquée tient au fait que la moitié vivable de la planète étant perpétuellement plongée dans la nuit, le seul moyen pour ses habitants de supporter l'obscurité continuelle a été d'instaurer une ambiance festive. De fil en aiguille, cela aurait conduit la planète à promouvoir les jeux de toutes sortes, devenant au passage une attraction pour les voyageurs de passage. Sa réputation grandissante et son développement économique accéléré ont fait le reste.
Divisée en douze Secteurs disposant d'une certaine autonomie, Star Dust II possède un fonctionnement administratif assez complexe, l'ensemble tenant à la fois de la démocratie participative et de la gestion d'entreprise. Les principaux dirigeants sont généralement élus ou réélus au regard de leurs bilans financiers plus qu'en fonction de leur éventuel programme socio-économique.
La planète, qui consomme beaucoup d'énergie pour ses nombreuses illuminations notamment, possède un ensemble original afin de subvenir à ses énormes besoins énergétiques sans avoir à être trop dépendantes des générateurs à fusion relativement gourmands en lithium, qu'elle ne produit pas. Star Dust est ainsi munie d'une incroyable ceinture constituée de gigantesques turbines de 30 mètres de diamètre au niveau de l'équateur, exploitant ainsi les vents pouvant souffler à plus de 300 km/h dans cette zone de la planète.



Star Dust © NASA/ESA/A. Nota
© NASA/ESA/A. Nota

Un chapelet de jeunes étoiles visibles depuis le secteur de Star Dust.

Atlantis 4, la Frénésie du Jeu

Capitale du Secteur 4, elle est également la capitale économique de la planète. C'est en effet la plus importante métropole de la planète avec près de 4 milliards d'habitants, le Secteur 4 étant également le plus peuplé des douze secteurs avec une population estimée à 12 milliards d'habitants.
Elle n'est cependant pas considérée comme la capitale administrative de la planète, le pouvoir étant partagé par les dirigeants de chacun des douze secteurs.
Atlantis 4 est bien souvent décrite comme étant la perle de Star Dust. Dans cette ville intégralement dédiée au jeu, tout n'est qu'illuminations omniprésentes au point qu'il est parfois difficile de croire qu'elle est plongé dans une nuit perpétuelle. La dernière mode consiste même à littéralement éblouir les gens par le biais de spots ultra puissants reproduisant la double lumière bleutée de Deltar et Zerak.
Bien évidemment dans une telle mégalopole où les constructions les plus originales côtoient les gratte-ciels les plus impressionnants, l'activité ne s'arrête jamais, les gens semblant continuellement baigner dans une atmosphère surréaliste d'euphorie permanente les poussant à jouer, jouer et encore jouer, jusqu'à ce qu'ils aient dépensé tout leur pécule.

La Pyramide de Cristal

Cela fait un peu plus de dix ans que les fameuses épreuves de la Pyramide de Cristal (située au cœur d'Atlantis 4) sont retransmises dans le système Star Dust. La réputation de ce jeu d'argent mêlant épreuves physiques, énigmes complexes et affrontements entre équipes rivales a depuis lors largement dépassé les limites de son système d'origine pour s'exporter un peu partout à travers les galaxies jumelles, en faisant un des spectacles les plus suivis à l'échelle de Miwéa et Koméa.
Le direct regroupe usuellement plusieurs milliards de téléspectateurs principalement sur Star Dust II et III. Les différés immédiats sont, quant à eux, suivis par plusieurs dizaines de billions de téléspectateurs.
Le principe de ce jeu est assez simple : sept équipes pénètrent à l'intérieur de la Pyramide et doivent parcourir les différentes salles qui s'y trouvent, déjouer les pièges, résoudre les énigmes ou surmonter les épreuves proposées afin d'accéder au niveau supérieur et continuer leur parcours jusqu'au sommet de la Pyramide afin d'atteindre l'Ultime Epreuve et enfin remporter le Pyramidion synonyme de victoire. Celle-ci permet à l'équipe lauréate de remporter la somme faramineuse de 10 millions de crédits.
Des centaines de caméras implantés dans le gigantesque bâtiment et placées sur des GéoDrones suivant les candidats filment l'événement en permanence. A cela s'ajoutent les caméras subjectives des participants afin de ne pas perdre une miette de ce palpitant défi.
Le clou du spectacle est généralement constitué par les affrontements inter-équipes qui ne manquent pas de dégénérer la plupart du temps, les participants ayant tous une farouche volonté de vaincre. Cependant, peu sont ceux qui ont réussi à surmonter toutes les épreuves et à empocher le fabuleux pactole.



Atlantis 4 © lemon drop
© lemon drop

Un feu d'artifices dans le ciel d'Atlantis 4.

Star Dust III

La troisième planète du système est très différente de Star Dust II. La pression atmosphérique et la gravité étant très faibles, elle est principalement occupée par des cités-bulles pressurisées, dotées de générateurs de gravité artificielle.
Son développement est nettement plus récent que celui de son imposante voisine. Elle n'accueille d'ailleurs qu'environ 3 milliards d'habitants ce qui est cependant tout à fait respectable pour une " planète bulle ", qui ne possède pas d'atmosphère respirable.
Afin de se démarquer de la principale planète du système, Star Dust III joue la carte du luxe et fait tout pour attirer les nantis des galaxies jumelles, leur assurant des prestations de tout premier ordre. L'ambition de la petite planète est ainsi de proposer une destination prestigieuse alliée à un savoir faire indéniable dans le domaine du jeu tout en offrant la garantie à ses clients qu'il ne côtoieront pas le quidam lambda comme cela pourrait être le cas sur Star Dust II.
Cette politique d'élitisme commence à porter ses fruits et la meilleure preuve en est qu'elle commence à intéresser les dirigeants les plus influents des principaux Secteurs de Star Dust II qui jusqu'à présent daignaient à peine admettre son existence.
Star Dust III dispose de son propre gouvernement / conseil d'administration autonome qui cherche bien sûr à le rester le plus longtemps possible.

Retrouvez le système Star Dust ainsi que Star Dust II et Atlantis 4 dans le scénario "La Pyramide de Cristal" disponible sur la page Scénarios de la rubrique Téléchargements.



Focus sur le système WuukaTetra
sgsmsd


Le Système WuukaTetra

WuukaTetra est un des principaux systèmes-carrefours de Koméa. Il s'agit assurément de l'un des systèmes ayant noué le plus de relations commerciales parmi tous ceux des galaxies jumelles. Ce système possède en effet une longue tradition d'exportations de matières premières minières. Des minerais de tous types sont exploités et commercialisés, des plus courants aux plus rares. L'industrie n'est pas en reste et est, tout du moins en ce qui concerne l'industrie lourde, l'une des plus développées de Koméa.
WT comporte quatre planètes en orbite autour de quatre étoiles de tailles et de types différents. Wuuka Alpha, la plus grosse, est une étoile bleue de type spectral B1, Wuuka Bêta est une étoile verte de type F3, Wuuka Gamma est une étoile rouge de type M5 et enfin Wuuka Delta qui est une naine blanche. Ce système stellaire quaternaire s'organise de façon assez curieuse puisque les deux étoiles principales orbitent l'une autour de l'autre alors que les deux autres gravitent autour de ce système double ce qui donne souvent l'impression d'assister à un étrange ballet cosmique.
Les quatre planètes du système sont Surasha, une petite planète rocheuse très proche des quatre étoiles, Deimos, la planète principale du système, Gargante, l'immense jovienne de 235 000 km de diamètre et enfin Cryo, une petite planète de glace située à plus de 10 milliards de km du quatuor Wuuka.

Deimos

Deimos est une planète tellurique particulièrement inhospitalière mais recelant des richesses minières tout bonnement phénoménales. D'un diamètre d'environ 17 000 km, cette planète dotée d'une très forte densité possède une gravité s'approchant des 2,5g. Ce chiffre élevé explique en grande partie pourquoi la population régulière, estimée à quelques millions d'habitants est si faible. Qui plus est, Deimos, dont l'atmosphère est excessivement chargée en soufre, est définitivement rendue invivable du fait d'une activité volcanique sporadique mais intense et changeante et également par la présence de nombreux orages magnétiques. Tout cela implique une géodésie particulièrement instable et d'incessants changements de géomagnétisme.
Malgré cela, les richesses qu'elle possède sont telles que les innombrables usines d'extraction minière qui s'y trouvent, tournent à plein rendement. Ces usines se présentent sous la forme de cités-bulles principalement provisoires ou plus souvent sous la forme de gigantesques plate-formes antigrav, les fameuses usines itinérantes.
Deimos est également entourée d'un nombre phénoménale de stations orbitales principalement destinées au post-traitement, à la mise en forme et au conditionnement des matériaux extraits. Certaines comportent même des usines spécialisées dans la fabrication de produits finis. Bon nombre d'entre elles sont également dédiées à l'exportation et jouent ainsi le rôle de plate-formes de fret.



WuukaTetra © Russell Croman
© Russell Croman

Wuuka Alpha, l'une des quatre étoiles du système.

NeoSupplex

La plus importante d'entre elles, et de très loin, est sans conteste NeoSupplex, une station spatiale géante (une des plus grandes des deux galaxies) capable d'accueillir plus de trois milliards de personnes. Cette station remplace Supplex et a été conçue sous la forme d'un ensemble modulaire afin de pouvoir s'agrandir (ou éventuellement diminuer en taille) au gré des flux migratoires. Elle est subdivisée en plusieurs zones (appelées par exemple Supplex-Alpha1 ou plus simplement Alpha1) bien souvent non communicantes et de légalités différentes : les légalités allant de 1 (voire 0) à 4.
Deux nouveaux modules d'extensions intégrant plusieurs zones devraient bientôt être ajoutées afin de porter la capacité d'accueil à près de quatre milliards de personnes et plusieurs autres sont en projet.
Il s'agit d'un des endroits les mieux fournis en matériels en tous genres des deux galaxies, toutes les corporations les plus connues disposent de comptoirs sur NeoSupplex bien souvent dans des zones différentes afin d'éviter tout problème.

NeoSupplex est dirigée par un gouvernement indépendant, gouvernement qui se trouve être à la tête de l'ensemble du système planétaire. Il s'agit d'un ensemble organisé à la manière d'une Corporation mineure, plus à même de traiter avec les MégaCorp. Il n'y a donc pas réellement d'élections classiques mais le conseil d'administration peut être partiellement ou intégralement renouvelé si les objectifs régulièrement recadrés ne sont systématiquement pas tenus. Les remplaçants sont choisis par un collège de conseillers et d'observateurs qui, de par leur rôle, ne peuvent briguer de tels postes.

Supplex

Il s'agit de l'ancienne station principale en orbite autour de Deimos. D'une capacité d'accueil correspondant à une population de 100 millions de personnes à l'origine et malgré l'ajout de nombreuses extensions, elle a été démantelé pour cause de surpopulation.
À l'époque de l'âge d'or de Supplex, il n'était pas rare qu'elle compte près d'un milliards de résidents permanents auxquels s'ajoutaient les voyageurs de passage. Devenue peu à peu un gigantesque magasin où il était possible de se procurer la plupart des pièces de rechange pour la quasi totalité des appareils et des véhicules des galaxies jumelles, Supplex s'est progressivement spécialisée dans les réparations de tous types. De nombreux ateliers s'installèrent et commencèrent à proposer de nouveaux services afin de se démarquer par rapport à leurs concurrents. C'est ainsi que toute une industrie dédiée à la remise en état puis à la modification et à la customisation de véhicules et de pièces d'équipements s'est peu à peu mise en place sur la gigantesque station lui valant le surnom de Capitale Intergalactique de la Mécanique. L'ensemble de ces activités ont été progressivement transférées sur NeoSupplex depuis le démantèlement de Supplex.

Le Bazar Central

Il s'agit d'un des plus importants comptoirs d'échange des deux galaxies. Le Bazar Central possède la réputation d'être une espèce de labyrinthe inextricable mais où il est possible, pour peu que l'on sache où chercher, de trouver à peu près tout ce que l'on peut imaginer qui se fabrique, se modifie ou se bricole dans Miwéa et Koméa.
Situé dans une zone neutre, indépendante des zones classiques, dans la partie centrale de la station, le Bazar est un de ses centres névralgiques les plus cruciaux. Il est possible d'y effectuer toutes sortes de commerce soit pour acquérir du matériel neuf ou d'occasion ou encore pour réaliser des échanges standards ou carrément y faire du troc. Par tradition, les taxes sont quasiment inexistantes dans le Bazar, le gouvernement n'exigeant qu'un montant négligeable pour conserver une trace des transactions et limiter la prolifération de trafics en tout genre.

La Ligue ViaTech

Ce championnat constitue l'une des plus illustres ligues de courses de boosters des deux galaxies. Il est d'ailleurs affilié à la prestigieuse InterLigue. La plupart des courses (une cinquantaine par saison) ont lieu sur NeoSupplex, certaines se déroulent sur Deimos dans des cités bulles ou au sein de vieilles usines désaffectées et enfin quelques rares courses prennent place dans d'autres stations orbitales de Deimos ou dans celles de Gargante. Les prix accordés aux vainqueurs de manche ou de championnat font partie des plus généreuses et sont tout bonnement astronomiques, ce qui a pour effet d'attirer bon nombre de pilotes renommés.
Il existe également une ligue dissidente, la ligue MeltaFusion, non reconnue par la fédération de l'InterLigue, dont les règlements diffèrent avec cependant certains circuits en commun avec la ligue ViaTech. Si une certaine rivalité existe entre les deux ligues, il est à noter cependant qu'elle est principalement sportive puisqu'une course commune, dotée d'un règlement spécifique, est organisée en fin de saison : la Coupe IntraSupplex.
Les nombreuses ligues officielles n'empêchent cependant pas l'existence de multiples courses de booster clandestines. Gérées par tout un ensemble de gangs semblant parfois disposer d'une certaine immunité, elles se tiennent dans la plupart des modules de NeoSupplex.

Retrouvez le système WuukaTetra ainsi que Deimos et NeoSupplex sur la page Systèmes planétaires de la rubrique Univers ainsi que dans le synopsis La Découverte disponible dans la rubrique Salon.



Navigation
sgsmsd

Retour Accueil Focus

Archives des Focus sur les systèmes de Miwéa

Rubrique Univers

Retour Haut de page

Plan du Site / TG Vision


e
e cig e cid e
e
Google